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AIDONS NOS FRÈRES MALIENS

 

Aidons nos frères Maliens

Ils ont traversé des périodes difficiles et sont arrivés avec femmes et enfants  au péril de leur vie

Ils ont tout délaissé là-bas fuyant l’horreur et se sont réfugiés chez nous. Ils s’entassent dans les gares routières et près des mosquées et mendient à longueur de journée. J’ai entendu certaines gens dire : « ils vont ramener chez nous des maladies » « ils polluent les lieux publics » Non c’est n’est pas là un raisonnement juste  !

L’Algérie est une terre d’hospitalité et a toujours accueilli des nouveaux venus depuis les Romains ! Ce sont toutes ces couches distinctes de populations successives qui font sa richesse.

Il faudra s’occuper sérieusement de permettre à ces malheureux de bénéficier d’un peu de confort, d’un repas et d’une douche dans des centres d’accueil appropriés, de leur permettre de régulariser leur situation et d’aller travailler

Il y va du prestige de l’Algérie


Communication, dites-vous?

 

Lafontaine aurait pu rajouter celle-là à son palmarès mais le but n’est point ici d’écrire une fable mais de dénoncer un état de fait.

 

Cette naïve jeune souris a été invitée par ce tout aussi crédule chaton du quartier pour jouer ensemble.

A leur âge, jouer était en effet la priorité des priorités et ils ne pensèrent guère à honorer ce pourquoi Dame Nature les a prédestiné à leur naissance, la guerre.

Ils oublièrent donc leur état de chasseur et de chassé et jouèrent dans la gaité et la joie durant toute la journée

Le soir en rentrant chacun chez soi ils furent tous les deux sujets à des remontrances sévères de la part de leurs parents respectifs

-Tu es un chat et tu n’oublieras plus jamais que tu es fait pour tuer les souris…. S’indigna la mère du chaton !

-Dorénavant tu dois faire très attention à tes fréquentations car tu risques gros en étant si innocent…expliqua dame souris à son rejeton.

Le lendemain, prêt à déclarer les hostilités, le chaton se mit en devoir d’attendre la venue de la petite souris et lorsque celle-ci montra le bout de son nez, il l’interpella :

-Viens-tu jouer comme hier, mon amie ?

La souris, prête à décamper au moindre geste suspect lui répondit :

-Autant, apparemment, tu as été conseillé par ta mère, autant moi aussi je l’ai été.

 

Ainsi, le grand problème de relations et entre sociétés qui se pose actuellement est incontestablement celui de la communication. A l’heure de la mondialisation, chacun reste encore dans son coin à dédaigner l’autre en face. Les préjugés, la méfiance, les faux jugements, la suspicion, les présomptions qui, à la longue, deviennent des faits accomplis font parfois que ceux qui en subissent les conséquences ne sont pas toujours ceux qui méritent châtiment.

Ne dit-on pas si bien : en forêt, un feu dévastateur brûle aussi bien le bois sec que les vertes pousses

Mon manuscrit, algérien mais  francophone et francophile ( oui, c’est possible..),  envoyé récemment en France est bien mal tombé chez l’éditeur, en ce temps d’atroces, barbares et inhumaines décapitations !

Abdelmadjid ADOUR

 

 

 

 


Fascinante culture des Dogons

 

FASCINANTE CULTURE DES DOGONS

Les Dogons sont un peuple africain du Mali à la culture traditionnelle orale dont les litanies sont venues des temps les plus reculés et transmises par la mémoire de son peuple, jaloux de ses racines.

La culture des Dogons renferme de bien étonnantes connaissances astronomiques, des connaissances qui bousculent les anthropologues !

Les Dogons vous parlent de Sirius, l’étoile la plus brillante après le soleil dont ils disent qu’elle est le point de création de l’univers mais ils vous disent encore qu’une autre étoile de couleur blanche plus petite mais beaucoup plus lourde tourne autour de Sirius et met 50 ans à en faire le tour. C’est Sirius B.

Ces connaissances des Dogons sont bien antérieures aux certitudes astrologiques de la science actuelle puisque Sirius B n’a été découverte par l’Américain Alvan Clarke qu’en 1862.

Il faut rappeler que Sirius B n’est pas visible à l’œil nu et qu’il faut un puissant télescope pour l’apercevoir…..

Comment, diable alors, se fait-il que les Dogons, tribu jugée primitive du fin fond du désert sub-Sahélien a connaissance de cette réalité astrologique depuis des lustres alors que la première exo planète de Sirius A a attendu le 21ème siècle pour être confirmée par la science.

Dans la continuité de leur savoir extraordinaire les Dogons connaissaient l’astéroïde Toro, « compagnon » de Vénus découvert seulement en 1948. Ils savaient aussi depuis toujours que la terre tournait autour du soleil et que la lune est inhabitable. Ils savaient encore la présence des quatre plus gros satellites de Jupiter invisibles à l’œil nu et connaissent aussi les anneaux de Saturne.

Il reste un dernier point très actuel à considérer : Les Dogons affirment qu’une troisième étoile tournerait autour de Sirius

Cette assertion figure sous forme de dessins sur leurs objets sacrés mais n’est toujours pas observée dans la réalité par les scientifiques. Les scientifiques vérifieront-ils, un jour, la véracité ou non de ce fait ?

Parions qu’une fois de plus les Dogons auront encore raison….

Bien avant la Mythologie Grecque, bien avant les Romains, bien avant les Pharaons égyptiens, existait une énorme civilisation, une culture des coutumes une spécificité, une science ancienne et un savoir authentique avéré.

Des traces de cette civilisation (Amazigh) sont encore là visibles aussi bien au Mali, en Tunisie, au Maroc, en Maurétanie, en Algérie (Tassili et autres sites) qu’ailleurs en Afrique, berceau de la création.

Cet article a été réalisé grâce à des informations glanées ça et là et selon Wikipédia

Abdelmadjid ADOUR